Les meilleures punchlines du projet Le HORLA des producteurs Skary & Wysko

Découvrez les meilleures punchlines des artistes invités sur LA HORLA, le projet commun des deux beatmakers marseillais, Skary & Wysko.

Attendez quoi ?! Un article punchlines alors qu’on parle de producteurs ?! Mais vous êtes pas finis chez Rap City ! Calmez-vous, calmez-vous ! Surtout que si vous affirmez ça, c’est que vous connaissez déjà les beatmakers talentueux que sont Skary & Wysko et rien que pour ça, vous méritez tout notre respect. Et ensuite, si on vous en parle, vous vous doutez bien que ce n’est pas pour rien. Loin de là, puisque les deux artistes sortent aujourd’hui la deuxième partie de leur projet triptyque, LA HORLA.

Mais avant de vous en parler en détail, précisions d’abord à qui ne le connaîtrait pas encore, le duo de producteurs sudistes et adepte de la trap, Skary & Wysko. Concernant Skary, il est réalisateur, ingénieur du son & beatmaker originaire d’Aubagne et membre du collectif des Sales Gosses. Il a notamment collaboré avec Naps, Kofs, Lujipeka, Stony Stone, Houdi et surtout Zamdane pour qui il a mixé l’intégralité de son dernier album Solsad. Niveau productions, il a signé des instrus mémorables à l’image de « Favaro de Zamdane, ses freestyles « Affamés » ou encore les morceaux « Vamos » et « Bogota » de Naps.

Wysko quant à lui est aussi natif d’Aubagne. S’il a lui aussi participé à faire briller la nouvelle génération de rappeurs marseillais, il s’est aussi très vite exporté en posant des prods pour des têtes d’affiche du rap dans toute la France, mais aussi en Italie. Jul, Naps, So La Zone, Moha La Squale, Niaks, Hatik, Rémy ou encore les rappeurs italiens Néza, Rhove et Villabanks sont autant d’artistes avec lesquels il a collaboré. Grâce à ce dernier et son hit « Papaya », il a même obtenu son premier single de platine.

Outre leur carrière solo respective, les deux artistes ont toujours pris plaisir à travailler ensemble depuis maintenant sept ans. Après avoir coproduit une flopée de titres tous les deux, dont ceux cités plus haut, « Vamos  et  Bogota », ils se sont lancé un nouveau défi commun à savoir sortir un projet commun dont l’histoire se raconte en trois parties et s’intitule LA HORLA. Le prologue est sorti le 10 mai dernier et se composait de cinq titres avec la participation au micro de Soprano, Zamdane, mademoiselle lou, Lujipeka et KLS. La deuxième partie a débarqué deux semaines plus tard, le 24 mai avec des nouveaux titres de Houdi, l’As, Jay Will, Ben PLG, Metah, Hash 24 et Stony Stone. Enfin, l’épilogue a débarqué le 7 juin avec cinq nouveaux titres mettant à l’honneur Limsa d’Aulnay, Sheldon, Achim et VERSIONBETA 7. Pour fêter la fin de cette belle sortie, on fait le point sur les meilleures punchlines du projet LA HORLA de Skary & Wysko.

Les meilleures punchlines des invités sur LA HORLA de Skary & Wysko

• Zamdane : « Mama, y a que dans tes bras que ce monde est magique » – « Paysagiste »
• Zamdane : « « Bébé veut que j’l’aime, elle craque, comment on peut aimer une machine ? » – « Paysagiste
• Zamdane : « Si l’poids des mots n’est pas suffisant, j’ai un gun pour lui ôter son âme » – « Paysagiste »
• Zamdane : « J’ai grandi, j’ai compris quе chaque chose à son prix » – « Paysagiste
• Zamdane : « Comment j’peux m’projeter avec toi si tout c’qui m’attend c’est un destin funeste ? » – « Paysagiste »
• Zamdane : « J’dois accomplir une immense tâche, on a des rêves pourtant, ils nous voient comme des pions jetables » – « Paysagiste »
• Lujipeka : « Pourquoi tout c’qui nous inspire c’est les drames ? » – « Le silence et les sirènes »
• Lujipeka : « L’Océan dans les yeux, j’en veux, à la Terre entière, mon vieux » – « Le silence et les sirènes »
• Lujipeka : « Si tu m’aimes pas, on est deux, j’pensais, qu’avec tout ça j’irai mieux » – « Le silence et les sirènes »
• Lujipeka : « J’espère qu’les gens se sentent bien en m’écoutant, ressentir des trucs c’est trop déroutant » – « Le silence et les sirènes »
• Mademoiselle lou : « J’pars en roue libre, j’veux pas rester bloquée dans ma routine » – « Routine »
• Mademoiselle lou : « J’fais le tri, mes sentiments me trahissent » – « Routine »
• KLS : « J’vais prendre la recette, leur laisser les regrets » – « Paradis »
• KLS : « Ecoute ce que Dieu t’a dit, les âmes les plus belles finissent en l’air » – « Paradis »
• KLS : « Y’a moins de naissance que de décès, pourtant tout autour ça fait qu’b*iser » – « Paradis »

• Houdi : « Dans mon coeur y’a des impacts de balles de parabellum » – « Le Temps »
• Houdi : « Dis-moi, tu veux pas t’occuper de ta vie ou rester sur ma teub ? » – « Le Temps »
• Houdi : « J’essaie de garder les souvenirs, j’suis conservateur » – « Le temps »
• Houdi : « Des fois quand ça s’ouvre pas, faut casser la porte » – « Le temps »
• Houdi : « J’suis rentré dans le rap avec des fissures sur les claquettes, maintenant ils écoutent, avant ils disaient que j’étais claqué » – « Le temps »
• Houdi : « Au fil du temps j’me rends compte que j’ai plus de temps, sablier de malheur, il donne même pas l’heure » – « Le temps »
• L’As : « A la base, j’voulais faire que le bien, mais les Hommes sont mauvais » – « Mes rêves »
• Jay Will : « Dans ma tête y’a des fumigènes, c’est l’Etoile Rouge de Belgrade » – « Belgrade »
• Jay Will : « Tu parles de « new wave », j’suis un ouragan » – « Belgrade »
• Jay Will : « On m’a dit que la haine s’apprend, mais j’ai pas pris de cours » – « Belgrade »
• Jay Will : « J’accorde pas ma confiance et j’attends pas que ça tombe du ciel en mon âme et conscience » – « Belgrade »
• Jay Will : « Y’a que moi qui peux me remplacer » – « Belgrade »
• Jay Will : « J’suis dans les choix,  t’es dans l’indécision » – « Belgrade »
• Ben PLG : « J’ai du courage et des amis, c’est l’essence même et puis l’amour c’est l’essentiel » – « Bâteau dans le ciel »
• Ben PLG : « J’rappe pas, j’traduis la résonance dans mon abdomen » – « Bâteau dans le ciel »
• Ben PLG : « ça sert à rien de tirer la gueule, mais de temps en temps on n’a pas trop le choix » – « Bâteau dans le ciel »
• Ben PLG : « J’me rappelle hier t’étais sur la paille, il suffit d’un rien pour que la paille s’enflamme » – « Bâteau dans le ciel »
• Ben PLG : « On va brasser comme ta daronne en maillot de bain » – « Bâteau dans le ciel »
• Metah : « A part tout ce papier, c’est soit se ranger, soit finir dans le brasier » – « Sortilège »
• Metah : « Ils passent par la fenêtre, il faut que j’attrape mes rêves » – « Sortilège »
• Hash 24 : « J’ai donné toute ma vie, maintenant regarde où ça mène » – Dis-le moi »
• Hash 24 : « J’ai besoin de faire ma vie dans un monde où les ennuis ne durent qu’un moment » – « Dis-le moi »
• Stony Stone : « Le bonheur est maquillé, guette pas les billets, à six heures ça va toquer » – « Evidemment »
• Stony Stone : « Faire de l’argent ça s’oublie pas facilement, c’est comme faire du vélo » – « Evidemment »
• Stony Stone : « Evidemment je remercie maman, dans pas longtemps elle dit au revoir à la vie d’avant » – « Evidemment »
• Stony Stone : « J’ai fait rentrer de l’argent, mais j’ai perdu un pote donc ça s’annule » – « Evidemment »
• Stony Stone : « J’ai voulu voler, j’y ai laissé des plumes et pas qu’un euro » – « Evidemment »

• Limsa d’Aulnay : « Alors que notre budget et notre moral sont à la baisse, quoi qu’il se passe on te répondra : « labess » – « 93° Fahrenheit »
• Limsa d’Aulnay : « Si tes potes font des bons son back-les, mais dis-leur s’ils font des sons bâclés » – « 93° Fahrenheit »
• Limsa d’Aulnay : « Photo de la rue en argentique, le manque d’argent tue comme en Argentine » – « 93° Fahrenheit »
• Limsa d’Aulnay : « Même si tu vis sous le ciel bleu, si ton petit à des soucis aide-le » – « 93° Fahrenheit »
• Sheldon : « Un stade de foot entre moi et vous, très peu de nuances entre le noir et le pourpre » – « Spike Lee »
• Sheldon : « J’regarde le vide comme un défi, j’me dis « y’a que toi qui peut le remplir » – « Spike Lee »
• Sheldon : « J’suis incapable d’avancer masqué, y’a que le regard des miens qui peut me faire switch » – « Spike Lee »
• Sheldon : « Que des lions pas de caméléons, rien ne change à part les saisons » – « Spike Lee »
• ACHIM : « A la fin, des comme moi y’en n’aura pas dix dans le ciel » – « VERSTAPPEN »
• ACHIM : « Si on a toujours ce qu’on mérite, qu’est-ce qu’il faut dire aux enfants de la DDASS » – « VERSTAPPEN »
• ACHIM : On s’en fout des rimes riches on va parler vrai, rien ne nous intéresse nous à part les faits, arrête de parler fake » – « VERSTAPPEN »
• ACHIM : « Rapide comme Verstappen, dans le vide tu verses ta peine » – « VERSTAPPEN »
• ACHIM : « Ils ont hésité quand on a insisté » – « VERSTAPPEN
• ACHIM : « Du bord ils nous regardaient nous noyer, maintenant ils nous lèchent les noyaux » – « VERSTAPPEN
• VERSIONBETA7 : « La vie c’est comme un « trappe–trappe » avec la faucheuse » – « Grave »
• VERSIONBETA7 : « Je le fais pour la paye, les €, pas pour les bravos » – « Grave »
• VERSIONBETA7 : « ça veut changer de statut social avec Instagram » – « Grave »