Pour fêter comme il se soit la sortie de son nouvel album Omerta, voici 20 anecdotes et choses à savoir sur Maes.
Au diable les clashs et autres embrouilles superficielles. Quand on parle de Maes, on préfère parler musique. Pourquoi ? Simplement parce que n’en déplaise à ses haters, il demeure aujourd’hui l’un des artistes les plus talentueux de sa génération. Depuis son explosion aux yeux du grand public, le rappeur de Sevran est tout simplement devenu une figure incontournable du rap français, avec une flopée de hits, de titres et de projets forts à son actif.
Un an et demi après la sortie de son dernier projet, la mixtape Réelle Vie 3.0, Maes s’apprête à revenir aux affaires avec son nouvel album, Omerta. Le premier sur Omerta 47 Records, sa nouvelle structure indépendante depuis qu’il a quitté l’écurie LDS Production. Histoire donc de se préparer dignement à la sortie de cette nouvelle bombe, en plus de ses meilleures punchlines, on vous propose de (re)découvrir une série de 20 anecdotes que vous ne connaissez peut-être pas sur Maes.
20 anecdotes et choses à savoir sur Maes avant Omerta.
Maes s’appelle Walid Georgey et est né à Villepinte dans le 93, le 10 janvier 1995. D’origine marocaine, il a grandi dans le quartier des Beaudottes à Sevran.
Le rappeur a cinq frères et deux soeurs. De sang bien sûr, on ne compte pas ses frères et soeur de vie.
Ses parents ne voulaient pas trop qu’il écoute du rap étant gamin. Ils l’ont laissé faire à partir du moment où il a acheté l’album de Sniper, Gravé dans la roche.
Il commence le rap autour de 13-14 ans, sous le blaze de Maestro et avec deux amis d’enfance SY et Radmo. Ensemble, ils formaient le groupe MSR, les initiales de leurs trois pseudos. Maes se considérait d’ailleurs comme le MC le plus faible du groupe.
Avec eux, il freestylait dans les halls de sa cité, mais son premier véritable morceau solo s’appelle « Solo Massacreur »
Il a fait 18 mois de prison à la maison d’arrêt de Villepinte de début 2016 à fin 2017. Derrière les barreaux, il a gratté ses premiers textes et s’est inspiré pour son premier projet Réelle Vie.
Il a fait son premier concert en première partie de 13 Block à La Bellevilloise. Les gars l’ont invité à partager la scène alors qu’il sortait tout juste de prison.
Le premier truc qu’il a fait après être sorti de prison, ce n’est pas aller au studio, mais acheter des kinders à Carrefour avec son producteur Moz.
Si LDS, le nom de son ancienne production signifie pour tout le monde « Les derniers Salopards », Maes a précisé que cet acronyme signifie aussi plusieurs choses dont « Liens du sang » ou encore « Loi du silence ».
Il a reçu sa première certification pour « Billets Verts ». Étonnement, le morceau a été single d’or avant « Madrina »
L’album Les derniers salopards a été certifié disque d’or en seulement dix jours puis disque de platine en un mois
Selon le SNEP, Maes possède aujourd’hui six singles de diamant : « Madrina » et « Blanche » avec Booba, « Billets Verts », « Disant » avec « Ninho » et Dybala » avec Jul.
Depuis le , Maes est père de jumeaux, quasiment deux ans jour pour jour après la naissance de son premier enfant.
De « Machiavélique » avec Dixane en 2015 à « DLB » avec Softo en 2023, Maes a officiellement sorti un total de 35 collaborations.
Dans une nouvelle interview accordée à Raplume, Maes a déclaré qu’il avait prévu de poser avec Central Cee sur « Galactic », mais malheureusement, ça ne s’est pas fait.
Maes a lancé sa propre cryptomonnaie. Disponible à 5$ le token, le $Maes va permettre à tous ceux qui en détiennent de donner leur avis sur la carrière du rappeur.
Maes n’arrive plus à écouter son premier projet Réelle Vie 1 car il le considère comme trop vieux vis-à-vis de son évolution personnelle.
Maes a mis six mois pour façonner Omerta.
Maes vit aujourd’hui à Dubaï, mais quand il fait de la musique, il enregistre systématiquement en France ou en Europe.